Mes chères lectrices, mes chers lecteurs,
Aujourd'hui nous allons traiter un sujet qui me tient particulièrement à coeur, les problèmes gynécologiques. Je tiens à préciser que je ne suis pas médecin, je voudrais simplement, à travers cet article, soulager votre esprit et vous montrer que nous ne sommes pas seules à souffrir aussi bien physiquement, que psychologiquement.
Concernant mes sources, ce sont vous, par le biais de témoignages anonymes, ou bien les recommandations de ma gynécologue et de mon urologue.
Nous allons parler d'infections urinaires, de mycoses vaginales, de dyspareunie ou encore de vaginisme. A travers cet article, je souhaite vous partager les astuces que j'ai reçu aujourd'hui sur mon compte Instagram.
Vous avez été des dizaines de milliers à répondre à mes questions, et pour cela je vous remercie.
Pour commencer, permettez-moi de parler de notre santé mentale face à ces troubles. Ne soyez pas surprises de voir votre santé mentale chuter si vous souffrez des troubles et infections évoqués. Ces derniers nous mettent dans une position d'insécurité et d'anxiété démesurée. Et je tiens à vous rassurer, c'est normal de se sentir mal face à nos souffrances.
Nous parlons sans cesses des douleurs physiques, mais jamais assez des douleurs psychologiques que ces dernières entraînent.
Nous y reviendrons.
Parlons des infections urinaires, les infections urinaires sont causées majoritairement par la bactérie E.Coli. Vous la connaissez par coeur, je suppose.
Pendant les rapports, il est possible que cette bactérie migre vers votre urètre.
Je sais à quel point la douleur est insupportable et je sais aussi à quel point nous avons peur qu'elle revienne au prochain rapport.
L'infection urinaire peut également venir, selon vos témoignages, d'un manque d'hydratation, d'une flore déséquilibrée, ou encore d'un gel douche non approprié. Et j'en passe.
Sachez que vous êtes 67% à avoir déjà eu une ou plusieurs infections urinaires, et vous êtes également 63% à avoir peur qu'elles reviennent. Les chiffres sont immenses, je n'ai même pas les mots.
Ce qui nous intéresse, c'est comment la prévenir, pour ne plus qu'elle revienne.
Pour commencer, le D-Mannose fonctionne sur la plupart d'entres vous !
Il s'agit d'un sucre qui va venir décoller les bactéries de la vessie !
Ecoutez, je dois vous avouer que ce produit fonctionne aussi très bien sur moi, notamment l'été !
Je vous conseille la marque FEMMANOSE évidement, qui se trouve en pharmacie, mais également celui de la marque Nutri And Co, vous m'avez bien dit qu'il était top ! Et, l'ayant testé, je confirme !
Vous pouvez également tester la gamme Nutriactive, j'ai découvert ces produits l'été dernier et ça a été une très bonne aide pour la prévention, notamment à la plage ! Ils sont à base de cranberry et d'huiles essentielles !
Nous avons également l'astuce de grand-mère, le vinaigre de cidre. J'en prends également ! Le matin, vous prenez une cuillère à soupe de vinaigre de cidre dans un grand verre d'eau à jeun ! Je dois vous avouer que je n'ai pas eu d'infections urinaires depuis que j'en consomme ! Il vous faut un vinaigre Bio !
Vous pouvez faire cette même opération avec du Bicarbonate alimentaire, je n'ai pas testé mais vous me l'avez beaucoup conseillé !
De plus, vous pouvez remettre votre flore intime à niveau en prenant des pro et des prébiotiques ! Personnellement, j'utilise ceux de chez DIJO mais vous pouvez en prendre en pharmacie ! Je vous conseille de faire le maximum niveau cure !
Pour moi, un mois n'a pas été suffisant !
Je vous mets les liens à la fin de l'article !
Il se peut que les infections urinaires viennent également de votre contraception !
J'insiste la dessus, mais demandez toujours à votre gynécologue de vous conseiller un contraceptif qui VOUS correspond, précisez que vous êtes sujettes aux infections urinaires. On me dit que le stérilet en cuivre en donne beaucoup quand vous êtes déjà sujettes aux infections ! Idem pour les mycoses !
On me dit également que les pilules ne sont pas toujours appropriées à VOTRE corps ! Les changements d'hormones peuvent beaucoup jouer.
Nous avons parlé des compléments alimentaires mais pas du rapport à l'esprit.
Vous êtes très nombreuses à avoir témoigné par rapport à la cause émotionnelle de l'infection urinaire. Comprendre la cause émotionnelle vous aurait beaucoup aidée ! Alors, pour faire simple, émotionnellement, l'infection urinaire chez la femme se traduirait par une sensation d'empiétement sur votre territoire. Il se peut que vous soyez entourées de personnes toxiques qui dépasseraient vos limites. Cela peut être une amie, un ami, des collègues, vos parents, vos frères, soeurs, votre famille. Mais également votre moitié, si elle ne vous laisse pas de temps pour vous ou si elle a une certaine emprise sur vous.
Vous vous sentez envahies et votre corps essaie de vous le dire.
Vous êtes extrêmement nombreuses à me dire que vos infections urinaires se sont également arrêtées lorsque vous avez quitté votre ex.
J'aimerais vous parler d'un témoignage anonyme, une femme m'a expliquée qu'elle avait été harcelée à son travail, elle faisait infection sur infection. Elle nous dit qu'elle avait comprit la cause émotionnelle et que, pour elle, il s'agissait d'une emprise. Quand elle a démissionné, elle n'a plus eu d'infections.
Est-ce lié ? Personnellement je ne m'avance pas, je relate seulement vos témoignages.
Mais je dois également avouer qu'un jour, j'étais en relation très toxique avec un homme et une fois l'homme dégagé, plus de soucis...
Vous êtes nombreuses à nous dire qu'il faut écouter les signaux de notre corps, l'écouter et en parler avec une sage femme et ou un psychiatre ou psychologue !
On me parle également de sexothérapeutes qui peuvent vous faire comprendre d'où viennent vos maux ! Les comprendre, c'est également apprendre à les éviter.
Je vous partage quelques astuces supplémentaires qui me viennent de vous :
- Porter des sous-vêtements en coton
- Ne pas porter de string
- Eviter les vêtements trop serrés
- Demander à votre partenaire de se laver les mains avant de commencer un rapport
- En parler avec son partenaire pour dédramatiser
- Boire évidement beaucoup d'eau (ne devenez pas accroc comme moi hein!!)
- Manger moins de sucre raffiné
- Eviter le gluten
- Evidement, uriner avant et après un rapport
- Tenir un journal pour évacuer votre stresse
- Faire une rééducation du périnée
- Eviter l'épilation intégrale (les poils sont une très bonne protection)
- Ritualiser
- Eviter la constipation
- La mésothérapie
- Un gel douche intime adapté
- Ne pas se laver l'intérieur du vagin
- Voir un psy
- La bruyère
- Pepin de pamplemousse
- Cranberry
- Huile essentielle de Cannelle de Ceylan
- Se faire passer en premier pour réduire sa charge mentale
- Le jus de citron
- L'huile essentielle de Tea tree
Voila une ribambelle d'astuces, merci à vous surtout ! Vous êtes tellement solidaires.
Nous avons parlé des infections urinaires, nous allons maintenant parler des mycoses vaginales.
Vous êtes 31% à en avoir et à ne pas avoir de réponses sur la cause de ces dernières.
La mycose vaginale est super répandue, elle est due à plein de choses, notamment un problème de contraception, un dérèglement hormonal, ou encore une flore déséquilibrée. L'été également, n'ayez pas peur mais on peut en avoir plus que d'habitude !
Pour éviter les mycoses vaginales, je vous conseille de faire une cure de trois mois de pro et de prébiotiques ! Cela fonctionne très bien et vous êtes assez d'accord avec moi la dessus.
Vous pouvez avoir ceux de chez DIJO, ou encore LACTIBIANE (je les adore).
Vous êtes également super nombreuses à me parler des probiotiques vaginaux. J'ai testé pour vous les Gynophilus en pharmacie et je confirme, c'est presque miraculeux pour moi ! Vous insistez également beaucoup sur l'huile de coco bio en prévention !
J'ajouterais ma petite astuce pour les prévenir, le Baume de chez BAUBO. Il est génial. Il prévient des sécheresses, mycoses et il permet de calmer les irritations de la vulve après un rapport ! C'est grâce à vous que j'ai découvert ce produit et je dois dire que je suis choquée des résultats ! Je ne peux plus m'en passer.
On me dit également que, comme les infections urinaires, on peut en parler à un psy, professionnel, sexologue etc, car cela "pourrait" être du à des grandes périodes de stresse selon vous !
Un témoignage intéressant, une femme m'explique qu'elle avait changé de travail, elle était très stressée donc elle enchainait les mycoses ! Finalement, avec moins de stresse et de la sophrologie, les mycoses se sont arrêtées ! On est trop contentes pour toi !!
Au niveau émotionnel, la mycose vaginale nous traduit un souci de communication avec le partenaire, une pression de devoir assouvir ses envies, sans nous même en avoir envie.
Une emprise de l'autre ou encore ne pas réussir à lui dire ce qui ne va pas pour vous.
Il est vrai qu'il y a quelques temps, j'entamais une relation compliquée avec un homme et il voulait tout le temps avoir des rapports (vraiment beaucoup), et moi beaucoup moins ! J'avais une mycose à CHAQUE rapport ! Je me souviens que je n'arrivais pas a lui dire non ou lui dire que je n'avais pas envie.
J'ai finalement décidé de mettre fin à la relation car la communication ne fonctionnait pas entre nous !
J'ai un témoignage en ce sens, exactement la même histoire que moi !
On nous dit d'instaurer une confiance avec son ou sa partenaire, d'être à l'écoute et de se sentir écoutée. En parler avec lui ou avec elle pour qu'il ou elle soit au courant de notre situation !
Parlons d'un sujet très important, le vaginisme. Je sais à quel point cela peut être un handicap pour nous. Avoir envie mais ne pas y arriver. Cette douleur qui peut rendre la pénétration impossible. Le vaginisme a plusieurs sources.
Pour commencer, l'agression sexuelle ou le viol, mais également l'anxiété et la peur. Il y a bien d'autres causes, on peut les explorer avec un professionnel.
J'aimerais apporter mon propre témoignage sur ce sujet.
J'ai eu une première fois difficile et j'ai tout de suite développé du vaginisme, très jeune. Je ne voulais même plus de petits copains tellement j'étais gênée car mon vaginisme rendait le rapport impossible. Un jour, je suis tombée amoureuse d'un homme à l'écoute, qui a su être patient. Avec le temps, mon vaginisme est parti !
Malheureusement pour ma part, je souffre d'autres troubles liés à ma première fois mais ce n'est pas notre coeur de sujet. Je voulais juste vous rassurer, on peut guérir du vaginisme. Et j'ai d'ailleurs reçu beaucoup de témoignages positifs à ce sujet !
Léa, une abonnée qui souhaitait ne pas être anonyme, voulait absolument vous en parler ! Elle nous dit que le vaginisme n'est pas toujours lié à une agression ou à un traumatisme. Elle nous dit que parfois, cela peut juste venir d'un rapport à sa sexualité et ou d'avoir peur que ça ne passe pas. Il peut aussi y avoir le fait d'avoir un partenaire qui ne nous met pas à l'aise.
Sa sage femme la rassure au quotidien et elle lui explique que le corps peut se fermer totalement OU partiellement. Léa peut tout de même mettre des tampons par exemple. Elle nous dit que le traitement est psychologique. Elle suit une rééducation du périnée avec sa sage femme qui l'aide beaucoup.
Léa souhaite insister sur le fait qu'au début de sa prise en charge, elle était très en colère contre son corps. Mais aujourd'hui, avec ses progrès, elle trouve que c'est une chance car elle a découvert une autre sexualité avec son partenaire, et elle a surtout comprit son corps. Elle a découvert son périnée, elle apprend à le contrôler pour ensuite contrôler son plaisir !
Elle nous dit qu'il ne faut pas rester seule face au vaginisme ! Elle vous donne aussi un petit tips, il faudrait bien hydrater son vagin avec des petites ovules que l'on peut trouver en pharmacie !
Léa s'est heurtée à des médecins qui ne la prenaient pas du tout au sérieux, ils lui disaient que c'était normal mais au fond d'elle, elle était persuadée que ce n'était pas normal. Elle aura mit un an à en parler à sa sage femme qui l'a écoutée.
Merci Léa, car ton témoignage donne beaucoup d'espoir et nous montre qu'on peut en guérir ! Effectivement, il faut prendre le temps, c'est nécessaire !
Si on peut retenir quelques conseils pour en venir à bout, parler avec une sage femme de votre problème, faire une rééducation du périnée, voir un psychiatre, psychologue ou sexologue. Evidement, en parler avec son ou sa partenaire, ne pas se mettre de pression et s'écouter.
Je vous conseille également le livre de Johanna Schleiffer "Un périnée au taquet".
Il est génial pour commencer, je le lis tous les jours et j'en apprends beaucoup.
Je vais d'ailleurs commencer une rééducation avec une sage femme car mon traumatisme n'est pas encore guéri. Je fais également des séances de EMDR avec ma psychologue pour dissocier mon traumatisme. Je vous tiens au courant, je suis en plein dedans !
Parlons maintenant de dyspareunie, la dyspareunie est une douleur qui survient pendant et après les rapports. Contrairement au vaginisme, la pénétration est possible mais reste douloureuse.
Elle survient souvent quand la femme souffre d'endométriose, mais pas que !
Elle peut survenir comme une brûlure ou une forte tension !
Elle peut venir d'une grande sécheresse, d'anxiété, d'agression sexuelle, mais la vérité, les causes sont multiples. Il y en a énormément.
Quant à la cause émotionnelle, elle pourrait traduire plusieurs choses :
- Manque de désir sexuel
- Stress et anxiété
- Traumatisme psycho-sexuel
- Difficultés relationnelles dans le couple
- Manque d’estime de soi entraînant une mauvaise image de son corps
Alors j'en ai souffert et ma petite astuce c'est évidement l'hydratation.
J'utilise les lubrifiants de chez My Lubie et de chez Saforelle. Ils sont top !
De plus, j'utilise le baume BAUBO en prévention !
J'ai également constaté qu'en parler avec ma psy m'aidait beaucoup.
Il faut également en parler avec son ou sa partenaire, c'est la base !
Nous allons terminer avec la vulvodynie ! La vulvodynie est une douleur vulvaire persistante (plus de 3 mois) sans cause identifiable. Elle résulte d'un dysfonctionnement du système de modulation de la douleur. Normalement, la douleur est un signal d'alarme : elle prévient qu'il y a des lésions des tissus.
Source : dermato-info.fr
Alors, ce sujet est très compliqué car il est assez méconnu. La preuve, vous n'êtes que 8% à en souffrir ou à le connaitre. Vous étiez nombreuses à me demander la définition.
Je suis en pleine recherche actuellement pour savoir si c'est de ce trouble dont je souffre.
Cela fait maintenant plus de trois mois que je souffre de douleurs, hors rapports, au niveau de la vulve et de l'entrée du vagin.
On m'a donc conseillée une rééducation du périnée, une prise en charge par une psychologue et des séance de EMDR. C'est ce que j'entame en ce moment.
Je dois avouer que mes douleurs ont tendance à s'espacer depuis que j'en parle avec ma psychologue. Mais ce n'est pas encore ça.
Niveau douleur, ça se traduit par une grande brûlure, un tiraillement et des sensations de sécheresses. Je vous le dis, je suis encore en recherches, je ne sais pas encore si c'est cela.
En tout cas, si vous souffrez de ce trouble, la chose qui revient le plus est la rééducation du périnée. On peut y associer, comme je disais, un suivi avec un psychologue ou psychiatre. On nous propose aussi de consulter un sexologue.
Je ne vais pas vous mentir, ce trouble affecte le quotidien et nous rend très faible psychologiquement. Il est très important d'en parler avec son médecin.
En tout cas, j'espère que j'ai trouvé mon problème.
Je n'ai pas de témoignages à ce sujet mais il y a en a beaucoup sur internet.
Je vous tiens au courant.
En attendant, ce qui fonctionne pour moi c'est la lubrification, le baume BAUBO en prévention quand ça ne va vraiment pas et une crème contre les sécheresses HYDRACARE (en pharmacie).
Psychologiquement, vous êtes 45% à en souffrir, 8% seulement à avoir vu un psychiatre ou un psychologue, 29% à avoir développé des phobies et surtout 45% à avoir peur d'avoir des rapports à cause de vos maux.
Les chiffres me font réfléchir. Vous êtes si nombreuses à avoir peur, à souffrir psychologiquement et surtout, à ne pas oser en parler à un professionnel pour vous aider psychologiquement.
Si je peux donner un conseil qui fonctionne pour beaucoup d'entre nous, c'est de se faire aider sur le terrain psychologique. Vous n'êtes pas seules, les chiffres parlent d'eux même !
Je ne souhaite pas vous inciter mais je souhaite seulement vous dire qu'en parler peut vous aider.
J'aimerais vous dire que c'est normal d'avoir peur avec tous ces troubles, c'est normal d'avoir un moral affecté. Je suis avec vous.
Parlez en avec votre médecin et voyez ce que vous pouvez mettre en place.
Explorez toutes les pistes et écoutez vous <3
Merci d'avoir répondu à mes sondages. Cet article a été fait pour vous et uniquement pour vous. Pour vous aider à trouver les petites astuces qui pourront vous aider à aller mieux.
Encore une fois, je ne suis pas médecin, je constate seulement vos témoignages et je vous apporte également le mien.
C'est en parlant que l'on comprend. Alors, parlez-en et n'ayez jamais honte de votre corps, aimez le et prenez soin de lui.
Je tiens également à remercier tous les hommes qui m'ont écrit aujourd'hui pour nous apporter leur soutien <3 Vous êtes au top !
Caroline (en plein travail avec sa psy).
LIENS DES PRODUITS :
Infections urinaires :
Mycoses :
Sécheresses et confort :
Le livre de Johanna :
https://www.amazon.fr/périnée-au-taquet-Johanna-Schleiffer/dp/2317031653
Un sacré travail d'éducation et de sensibilisation formulé de manière accessible. Je suis un homme et je me dis que si plusieurs de ces notions sont difficiles à communiquer aux femmes et peu connues, alors nous les hommes nous sommes vraiment à la traîne. Nous avons aussi notre part dans l'équation et faire connaître tranquillement certains comportements et termes aux hommes pourrait faciliter une meilleure connaissance de l'autre, menant à une meilleure empathie et respect. Merci, prends bien soin de toi, car c'est comme cela que tu pourras ensuite aider les autres. Bonne journée
Merci Caroline pour ce condensé d’infos simplement et clairement présentées. J’ai 55 ans et j’ai souffert durant des années d’une mycose chronique dont je n’arrivais pas à me débarrasser. chaque mois, boum elle me tombait dessus pendant quelques jours, puis disparaissait pour revenir le mois d’après. C’était pénible et je subissais malgré un comprimé de Difflucan chaque mois. Un jour j’ai changé de gynécologue, je suis passée d’un homme à une femme, qui m’a simplement suggéré de faire une cure d’un mois de ce même difflucan. Et miracle. Depuis, plus de problème. Je dois quand même reconnaître que mon parcours de vie à évolué durant toutes ces années. Je reconnais beaucoup des sujets dont vous avez parlé : moins de…